Depuis 1990, la recherche parle du ChemoBrain, mais dans le contexte actuel en France, seule onCOGITE propose une prise en charge d’un  parcours de rééducation cognitive innovante adaptée aux troubles oncognitifs diffus liés au cancer, où que se trouve le patient sur le territoire, métropole et outre-mer.

Contexte et besoins

 382 000 nouveaux cas de cancers en 2018 en France
50% des cancers chez les adultes : < 65 ans
1/3 des patients en activité professionnelle au moment du diagnostic

  • En 2018 en France : 3,8 millions de personnes ont eu un cancer.
  • 63,5% ont des séquelles du cancer ou des traitements
  • parmi les personnes en emploi au moment de leur diagnostic, 20 % ne travaillent plus cinq ans après.
    https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Les-chiffres-du-cancer-en-France/Epidemiologie-des-cancers/Donnees-globales
  • 1 personne sur 3 perd ou quitte son emploi dans les deux ans après un diagnostic de cancer.
  • 11 % des personnes en activité se sont senties pénalisées professionnellement à cause de leur cancer.
    https://www.ligue-cancer.net/vivre/article/27761_le-retour-lemploi-apres-un-cancer-un-combat
  • Une population de séniors à accompagner, population qui présente un vieillissement cognitif accéléré
    (Koppelmans, de Ruiter, et al., 2012)

onCOGITE est née de la nécessité d’accompagner la réhabilitation personnelle, sociale et professionnelle à l’issue du parcours de traitements oncologiques.

Le ChemoBrain n’est pas uniquement lié aux traitements par Chimiothérapie, comme le laisse entendre l’ anglicisme. Chemobrain, Chemofog décrits depuis les années 90, à onCOGITE, on parle de « brouillard oncognitif » Avant, pendant et après les traitements oncologiques.

Vous retrouverez tout cela dans les articles scientifique suivants :

« Cancer-Related Cognitive Impairment » (CRCI) (Lange et al., 2019)

Syndromes auto-immuns paranéoplasiques (atteinte limbique) (de Broucker, 2011)

Chimiothérapies (Ahles et al., 2012, Janelsins, M. C., et al., 2017).
Toxicité directe (5FU, méthotrexate, ifosfamide) ou indirecte (Koppelmans et al., 2012; de Ruiter et al., 2011; Stouten-Kemperman et al., 2015)

Hormonothérapies (Underwood et al., 2018; Gonzalez et al.; 2015, Morote et al., 2017)

Therapies ciblées : traitements anti-angiogéniques  (Joly et al. , 2016;  Mulder et al., 2014)

Immunothérapie : études et explorations en cours (McGinnis et al., 2017)